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Présentation de la grappe de thèses GloUrb
Le 15 décembre 2023
Janvier 2024 : La grappe de thèses GloUrb est enfin au complet !
Après l’arrivée de Fanny Bourgeau (géographie physique ; laboratoire EVS, ENS-Lyon) et Liolia Bajemon (géographie sociale ; laboratoire EVS, ENS-Lyon) au 1er Octobre 2023, et celle de Josselin Burriat (écologie ; laboratoire LEHNA, Université Lyon 1) au 1er novembre 2023, le 15 décembre 2023 a été le tour de Pierre Audisio (physique du signal ; laboratoire LP, ENS-Lyon) de rejoindre la grappe de thèses.
Ci-dessous vous trouvez une brève présentation de leur parcours. Toute l’équipe GloUrb leur souhaite la bienvenue et bon travail pour la suite de l’aventure !
"J'ai fait l'ensemble de mes études à Marseille, avec une spécialisation en traitement du signal et des images. Après l'obtention de mon diplome de master, j'ai travaillé 2 ans en Nouvellle-Calédonie, à l'Institut de Recherche pour le Développement.
Aujourd'hui mes travaux en tant que doctorant visent à étudier des méthodes d'optimisations applicables aux images satellitaires pour étude à grande échelle des fleuves. Ces méthodes peuvent permettre de faire plusieurs choses, dont de la segmentation et de la classification, mais aussi de l'inpainting pour retrouver des données manquantes.
Faire partie de la grappe de thèse est vraiment sympa. Pouvoir être un groupe de doctorant étant au même point chacun de sa propre thèse nous permet de nous restituer concernant notre avancement, et d'apprendre chacun l'un de l'autre sur les nouveaux objectifs atteints."
"Après une formation en géographie de l'environnement, mes thématiques de recherche se sont tournées vers le champ de l'écologie de la conservation. Ma thèse vise à étudier les effets de l'urbanisation mondiale sur les fonctions écosystémiques et la biodiversité des plaines alluviales. Ce travail est dirigé par Sylvain Doledec, Bernard Kaufmann et Barbara Belletti et s'insère principalement dans les champs disciplinaires de l'écologie, de la biogéographie et de l'analyse spatiale.
Le fonctionnement de cette thèse, en grappe, est un atout indéniable puisque nos échanges fréquents nous permettent d'appréhender notre sujet d'une manière pluridisciplinaire, d'acquérir des connaissances dans des domaines qui nous sont inconnus et d'évoluer dans une dynamique bienveillante où l'entraide et la confiance font partie du quotidien."
FANNY BOURGEAU
"Après une licence en géographie, je me suis spécialisée dans le domaine des sciences de l'eau en master. Mon travail de thèse porte sur les changements paysagers observés sur les corridors fluviaux impactés par l'urbanisation. Je suis encadrée au laboratoire EVS par Hervé Piégay et Barbara Belletti et au laboratoire Lehna par Fanny Colas pour explorer les changements physiques des paysages fluviaux aux alentours de villes importantes. Le cadre interdisciplinaire est un apport très riche, autant scientifiquement que personnellement. C'est stimulant d'élargir notre perception disciplinaire et de fournir régulièrement un effort d'explication. D'autre part, c'est très rassurant de former un collectif de doctorant·e·s avec qui échanger."
Après l’arrivée de Fanny Bourgeau (géographie physique ; laboratoire EVS, ENS-Lyon) et Liolia Bajemon (géographie sociale ; laboratoire EVS, ENS-Lyon) au 1er Octobre 2023, et celle de Josselin Burriat (écologie ; laboratoire LEHNA, Université Lyon 1) au 1er novembre 2023, le 15 décembre 2023 a été le tour de Pierre Audisio (physique du signal ; laboratoire LP, ENS-Lyon) de rejoindre la grappe de thèses.
Ci-dessous vous trouvez une brève présentation de leur parcours. Toute l’équipe GloUrb leur souhaite la bienvenue et bon travail pour la suite de l’aventure !
LIOLIA BAJEMON
Pour l'instant, faire partie de la grappe de thèses est très positif, puisque cela nous permet d'échanger fréquemment entre doctorants sur nos sujets de thèse et nos questionnements respectifs."
PIERRE AUDISIO
"J'ai fait l'ensemble de mes études à Marseille, avec une spécialisation en traitement du signal et des images. Après l'obtention de mon diplome de master, j'ai travaillé 2 ans en Nouvellle-Calédonie, à l'Institut de Recherche pour le Développement.Aujourd'hui mes travaux en tant que doctorant visent à étudier des méthodes d'optimisations applicables aux images satellitaires pour étude à grande échelle des fleuves. Ces méthodes peuvent permettre de faire plusieurs choses, dont de la segmentation et de la classification, mais aussi de l'inpainting pour retrouver des données manquantes.
Faire partie de la grappe de thèse est vraiment sympa. Pouvoir être un groupe de doctorant étant au même point chacun de sa propre thèse nous permet de nous restituer concernant notre avancement, et d'apprendre chacun l'un de l'autre sur les nouveaux objectifs atteints."
JOSSELIN BURRIAT
"Après une formation en géographie de l'environnement, mes thématiques de recherche se sont tournées vers le champ de l'écologie de la conservation. Ma thèse vise à étudier les effets de l'urbanisation mondiale sur les fonctions écosystémiques et la biodiversité des plaines alluviales. Ce travail est dirigé par Sylvain Doledec, Bernard Kaufmann et Barbara Belletti et s'insère principalement dans les champs disciplinaires de l'écologie, de la biogéographie et de l'analyse spatiale.Le fonctionnement de cette thèse, en grappe, est un atout indéniable puisque nos échanges fréquents nous permettent d'appréhender notre sujet d'une manière pluridisciplinaire, d'acquérir des connaissances dans des domaines qui nous sont inconnus et d'évoluer dans une dynamique bienveillante où l'entraide et la confiance font partie du quotidien."
FANNY BOURGEAU
"Après une licence en géographie, je me suis spécialisée dans le domaine des sciences de l'eau en master. Mon travail de thèse porte sur les changements paysagers observés sur les corridors fluviaux impactés par l'urbanisation. Je suis encadrée au laboratoire EVS par Hervé Piégay et Barbara Belletti et au laboratoire Lehna par Fanny Colas pour explorer les changements physiques des paysages fluviaux aux alentours de villes importantes. Le cadre interdisciplinaire est un apport très riche, autant scientifiquement que personnellement. C'est stimulant d'élargir notre perception disciplinaire et de fournir régulièrement un effort d'explication. D'autre part, c'est très rassurant de former un collectif de doctorant·e·s avec qui échanger." 
